Convalescence de Dico à bord de l'Excalibur

Au son de la voix de Ryan, Dico releva la tête et esquissa, pour la première fois depuis longtemps, un léger sourire :
"... Content de vous voir en un seul morceau, Tom..."

Mais son regard ne s'arrêtait pas au colonel. Les yeux de Dico semblaient fixer un point situé au-delà du colonel, lointain, imprécis...

"Fox l'a tué ?... Ouais... Encore une mort qui aurait pu être évitée..."

Dico laissa un long silence avant de reprendre :
"Vous me demandez ce que je regarde ? Je regarde mes doutes, mes angoisses, mes certitudes, mes hypothèses, mes erreurs... Bref, je regarde un gouffre béant qui se dresse devant moi ; un gouffre au fond duquel se trouvent les dizaines d'hommes et de femmes qui ont laissé leur vie durant cette mission... Voilà ce que je regarde, Tom..."

Le diabète d'Eric

Eric remarqua deux personnes l'un allongé l'autre a coté de lui voyen qu'il était repère il caha la seringue et les recharge dans ses poche

Dico n'avait pas remarqué les agissements d'Éric. Il ne le connaissait absolument pas. Cependant, il remarqua son attitude hésitante et, sans même savoir pourquoi il dit cela, sans même s'en rendre compte, dit à l'intention de Tom en désignant Éric d'un mouvement de tête :
"En parlant de problème... Lui aussi en a un, apparemment. Feriez mieux de l'appeler pour qu'il s'explique..."

Ryan avait remarqué que ce nouveau était entré, il avait une attitude étrange et hésitante. Quand Dico et Ryan tournèrent la tête, il détourna la sienne et cacha des seringues dans sa poche. Il 'fallait pas prendre Ryan pour un idiot, ce Lionheart allait l'apprendre à ses dépens. Se droguer pendant les heures de service ne faisait pas parti des activités autorisées. Dico lui fit remarquer qu'il fallait mieux vérifier. Il avait l'air d'aller mieux. C'était déjà ça. Mais cette revitalisation ne fit pas perdre les esprits à Ryan. Ce Lieutenant n'allait pas s'en sortir comme ça. Il avait toujours la main dans sa poche quand Ryan la lui saisit et lui tordit dans le dos avant de le plaquer contre le mur. Ironiquement, le Colonel lui demanda :

-Qui a dit que les officiers ne savaient pas se battre ?

TOut à coup, par réflexe, Eric envoya son coude dans le ventre du COlonel. RYan recula d'un bond, il eu un flash-back :

//Somalie_Afrique_16 Juin 1993\\

-Sécurisez le périmètre !

Le Lieutenant Ryan donna ses ordres à son escouade. SOudan son casque grésilla pendant qu'ils entraient dans l'ambassade dévastée.

//Dog Patch, ici Leader Echo 5. Rapport de situation. À vous.

RYan siffla ses coéquipiers qui tournèrent la tête vers lui. Ce dernier leva le doigt en l'air et lui fit faire quelques petites cercles avant que sa main ne tombe de quelques centimentres et qu'il referme son poing. Son escouade se regroupa et ils se mirent à couvert le plus possible. RYan répondit avec son casque.

//L'ambassade de France est totalement détruite. Traces de coups de feu évidents. Aucun survivant.

Ryan se releva et chuchota à ses coéquipiers de rester à couvert. Il s'engouffra un peu plus dans l'ambassade quand il un corps attira son regard. C'était un fançais, sans aucun doute, il été très bien habillé. Le communicateur de TOm grésilla à nouveau. Le radio s'inquiétait de leur situation, à cause de la pause de Ryan.

//Dog Patch ? Vous êtes toujours là ?

//Leader Echo 5, ici Dog Patch, l'ambassadeur est mort.

//Répetez.

//Delta-Echo-Alpha-Delta. Je repete, l'ambassadeur est Delta-Echo-Alpha-Delta.

Le radio, l'air soulagé, répondit sans se faire prier, il brancha la fréquence générale au lieu de celle privée qui relié le radio à Ryan. Toute l'escouade l'entendit.

//La mission est terminé escouade Hôtel-Echo-Lima-Papa. Un UH-60 vous attend au point de ralliement Bravo 2.

//Bien compris Leader Echo 2, on se met en route. Dog Patch terminé.

Ryan se mit accroupit et avança doucement vers son escouade. Il leur ordonna de quitter doucement le secteur. Inconscient du danger qui avançait, un des Seals se leva brusquement et s'étira. TOut à coup, sa tête implosa, seulement quelques secondes plus tard, on entendit le coup de feu. Tous les Seals se barricadèrent et immédiatement après, une rafale continue d'AK-47 mit son grain de sel. Ryan hurla pour couvrir le bruit des tirs.

-Tireur embusqué à 1 heure ! Environ 1 kilomètre !

En essayant de rester en vie, TOm leva les yeux et vit trois hommes dans les feuillages à une centaine de mètres, et à leur gauche, 2 autres. Tom les pointa de la main.
-Nichol ! Irtsen ! Feu continu sur leur position !

Les deux Seals s'avancèrent vers RYan pendant que celui-ci reculait et se mirent à fournir un tir de barrage continu avec leurs MP5. Ryan se tourna vers le dernier membre de son escouade.

-Lloyd ! Tu vois ce salopard là-bas ?!

Le dénommé Lloyd détacha la lunette de son PSG-1 et la tourna dans la direction que son lieutenant indiqué, à environ, à kilomètre, une petite maison trônait au milieu du terrain, et effectivement à l'intérieur, un tireur embusqué prenait son pied. Sa lunette reflettait la lumière du soleil et le rendait parfaitemment visible. Tom continua :

-Choute-le moi ! Il va nous gêner !

Lloyd remit sa lunette et se remit à viser, pendant ce temps, Ryan appela la base.

//Ici Dog Patch ! Leader Echo 5, vous me recevez ?

//Ici Leader Echo 5, a vous.

//Sommes pris sous un feu nourri ! Demande évacuation d'urgence ! Hole est mort !

//Deux F-22 accompagnent votre UH-60. Tenez votre position jusqu'à leur arrivée.

Depuis ce jour, Ryan déteste les radios. "Tenez la position". Décidemment, les radios n'avaient pas l'éxperience du terrain. Tom hella ses hommes juste après que Lloyd ai tiré son premier coup.

-On se replit à l'intérieur de l'ambassade ! Lloyd, tu la eu ?

-Non Lieutenant !

Sans parler davantage, il trouvèrent un abri dans l'ambassade. Pendant les quelques secondes de calme qui régnaient, l'escouade assembla une mitrailleuse de 12.7mm pour la couverture. Ils tirrèrent Hole à l'intérieur. Ryan donna ses quelques instructions stratégiques quand ils entendèrent un bruit de chenilles. Lloyd s'exclama :

-La cavalerie ! Ils nous enmène finalement des Abrahams !

Mais ce n'était pas des chars américains. C'était un char au mains des insurgés somaliens, escorté lui-même par un petit régiment de rebelles. SOudain, quand il fut à portée de tir, il tourna sa tourelle vers l'ambassade et fit feu de son canon principal, TOm hurla :

-Couchez vous !

Une partie du mur d'entrée fut complétement anhihilé par le tir. Les tirs recommencèrent et les Seals répliquèrent de toutes leurs forces. APrès quelques minutes, ils commencèrent à manquer de munitions et sentirent leur force diminuer. Ryan se résigna à ordonner l'ordre fatidique.

//Leader Echo 5. Annulation de l'ordre de rapatriement. Broken Arrow.

Le radio laissa planner le silence quelques secondes avant de répondre, la voix tremblante.

//Répetez Dog Patch...

La voix assurée, Ryan répondit, au grand damn de sa conscience.

//Broken Arrow.

La communication fut coupée et les Seals recommencèrent à faire feu. Soudain, un jeune garçon saisit par suprise et par derrière le Beretta de Lloyd et se mit à tirer sur les insurgés. Les Seals s'arrèterent brusquement et regardèrent la garçon, plein de haine, tirant sur l'ennemi, de sa faible puisssance de feu. Ryan ne se fit pas attendre, il tordit légerement le poignet du garçon et saisit le Beretta qu'il rendit à Lloyd.Mais le garçon assena un violent coup de coude à Ryan et saisit le MP5 de Hole qui était mort. Le garçon s'appuya contre une table renversé et continua à tirer. RYan le stoppa net en lui arrachant le fusil des mains et en le jetant par terre. Se doutant qu'il était français, Ryan dit :

-Bouges pas !

Puis il rejoint son groupe quand, quelques minutes plus tard, un bruit sourd se fit entendre. Les Seal's étaient à bout de force et les insugés gagnaient du terrain quand un bruit de mitrailleuses se fit entendre dans le ciel. Un bruit caractéristique. Deux A-10 ! Oui, deux A-10 "Warthog" avaient été dépechés pour sortir l'escouade du pétrin. Un des deux Phacochères lâcha une bombe qui fit exploser le tank et tua sur le coup les insurgés trop proches. Ils firent quelques rotations au dessus de la zone en tirant des raflaes avec leur mitrailleuses quand il laissèrent la place aux deux F-22 "Raptors" qui laissèrent tomber un tapis de bombes sur les insurgés. Le UH-60 était à portée de vue. QUand il se posa devant l'ambassade, Lloyd mit son PSG-1 en bandoullière et attrapa Hole par le col et le traîna jusqu'à l'hélicoptère. Il y avait un bruit sourd. Les A-10 et les F-22 se cédaient la place à tour de rôle. Nettoyant petit à petit la zone. Ryan attrapa le jeune français qui eu un dernier regard pour l'ambassade avant de grimper dans le Black Hawk.
Sur la route du retour, Ryan prit la parole pour la garçon et dit, en pointant du doigt l'arme de Hole qui siégait à côté de son défunt propriétaire.

-Viens dans 10 ans en Amérique. Et tu auras la tienne.


Ryan revint dans le présent. Il revoyait le coude de coude de ce jeune français. Mais RYan ne resta pas là sans rien faire, c'était ocntraire à sa politique. Il fouilla dans la poche de Eric, et, satisfait, trouva les seringues. SOudain, il vit que c'était de l'insuline ! TOm s'exclama :

-Ce n'était pas mentionné dans votre dossier, soldat ! 'Va falloir qu'on cause ensemble !



HRP : Ca mérite des zoulis XP pour un post du genre, non ?

Eric avait très bien entendut la phrase de cette homme mais il fit mine de l'inioré il fit quelque pas vers la sortie mais il se fit de nouveau ratrapez par son supèrieur sur sa main. Il eu le refléxe de lui faire une prise d'aikido

(pour vous faire decouvrir l art martial et aussi mon art ^^)



Tom Ryan se retrouva a terre sans rien comprendre il vit Eric qui l'immobilisa d'une main et de l'autre il avait sans qu'il comprenne la seringue et les charges.

-"J'ai le droit de rien vois dire par secret médical, mais si vous me reprenez pas le colbac comme sela j'utiliserait un autre art martial plus violent"

Eric lacha la garde et fit un pas en arrière par prudence.

*C'est pas vrai ! Des gamins...*

Mais Dico avait entendu la dernière phrase du nouveau et intervint :
"Mon cher, le secret médical est inviolable, certes. Mais il ne vous donne pas le droit de vous "servir" sans un avis médical autorisé. Allez donc plutôt vous expliquer avec le Docteur Alord ou l'infirmier Auxbonsoins."

Et, s'adressant aux deux hommes, il ajouta d'une voix forte et percutante :
"Et CESSEZ donc de vous battre comme des chiffonniers... Vous trouvez qu'il n'y en a pas encore eu assez comme ça ?!"

Et son regard, embué des récents et tragiques événements, se perdit à nouveau dans le vague...

Après s'être perdu dans le dédale de couloirs du vaisseau, H. Sykes arriva à l'infirmerie. A peine était-il entré qu'il assista à un échange verbal et physique qui le laissa perplexe. Il écouta les derniers propos échangés et jugea préférable de s'adosser au mur, à côté de la porte, pour évaluer la situation, comme à son habitude. Il ne put cependant s'empêcher d'afficher un large sourire à la vue de Ryan et de Dico. Puis, il observa le troisième homme. Il ne le connaissait, mais il lui semblait l'avoir déjà vu quelque part...

*S'en sont bien sortis ! Tant mieux ! Mais Dico a l'air choqué... Son regard me plait pas des masses... Non... Loin de là, même...*

Eric regarda le nouveau venus il savait qu'il avait écouté à la porte mais il ne fit pas trop attention à lui il regarda dico d'un regard plus sage et sain et il inclina la tête pour dire qu'il avait saisi son message. Puis il partit laissant Tom Ryan a terre encore déboussolé.

*Je détéste les personne s qui profite des grades pour se sentir plus fort*

Eric savait que les tension avec Tom allez augmente.Eric au bord de la porte dennant un violent coup sur un mur qui le déforma un peux il s'arrétat net au seuil de la porte. Il doute de lui et aussi il se questionna. Puit il partie pour de bon .


Ps:Tom Ryan les F-22 on était mis en servisce en 2005 dans usaf a l'époque 1993 il y a soit des f-16 ou f-15

*Impétueux ! Faudra penser à le recadrer...*, pensa H. Sykes

Involontairement, Dico regarda le nouveau sortir et aperçut le colonel. Celui-ci le regarda avec cet air bizarre, à la fois indifférent et intensément concentré.
En s'avançant, il tendit le bras pour que Ryan s'y agrippe pour se relever, tout en s'adressant à Dico :
- Va mieux ?
- ...
- Pas votre faute...
- ...
- C'est vous qui voyez... J'ai des nouvelles pour vous. Pas l'habitude de papoter. Alors ! Taisez-vous et écoutez-moi !

Et H. Sykes entreprit de tout lui raconter : le dragon, son comportement, ses réactions, le test, les armes, objets et bouquins qu'il a ramenés avec lui.

À l'évocation des livres, le regard de Dico s'illumina une fraction de seconde. Infime réaction qui n'échappa pas (sic !) au militaire qui insista donc sur ce point (espérant du même coup que Dico sortirait de son mutisme) :
- Donc, j'ai enfilé les lunettes et les inscriptions sont apparues (il lui tendit le papier sur lequel il les avait griffonnées). J'ai donc pris les bouquins,-3 pour être précis, et... me voilà...

Après son exposé, le colonel jeta un coup d'œil à Ryan et à Dico qui ne témoignait aucune envie de parler. Mais il était visiblement troublé par le récit de H. Sykes.

HRP : Je place ici un lien vers le rapporte de mission solo de H. Sykes :
https://sgu-rpg.bbactif.com/rapports-de-mission-f152/rapport-de-mission-solo-de-h-sykes-t262.htm?sid=00c98ff62fe1af74dd76fd2fe7f3f0fe

Dico avait dans les mains le bout de papier que H. Sykes lui avait tendu, peu avant. Il le parcourut des yeux. Son regard sembla alors s'enflammer. Il releva la tête vers le colonel Sykes. Des larmes coulèrent alors sur ses joues alors que le morceau de papier tremblait dans ses mains :
- ... M... Merci, col...
- Pas la peine !, trancha H. Sykes qui se tourna vers Ryan, debout et apparemment remis de son "altercation" avec le nouveau.

Sans même attendre une autre réaction de Dico, il sortit de la pièce.

Satisfait intérieurement de la réaction de Dico, H. Sykes marchait dans les couloirs quand le regard interrogateur d'un technicien qui marchait en sens inverse le sortit de ses réflexions. Il interpella l'homme qui sembla fondre sur place, comme de la glace au soleil :
- Quoi !
- Rien, Monsieur... Je
- Hmmm..., grommela-t-il
- Je pensais que vous étiez au banquet, comme tous les...
- Au banquet ?
- Oui, en l'honneur d...
- Peu importe ! (il pensa alors que Macnam devait y être, en sa qualité de chef de la base d'Atlantis) Où ça se trouve ?
- Ici même... Niveau 2. Au mess.
- hmmm..., grogna-t-il tout en inclinant la tête en signe de remerciement et en regardant dans la direction que l'homme venait de lui indiquer.

Il se dirigea donc vers le mess ; et le technicien ne fut pas mécontent de le voir disparaître de sa vue.

PNJ = L'infirmier "Auxbonsoins"
Dico se reprit difficilement. Il se fit violence et se concentra sur le papier que l'antipathique colonel lui avait remis. L'infirmier "Auxbonsoins" qui passait alors devant lui se vit demander un PC portable avec connexion à la base.

Ce dernier ne chercha pas à protester, tout heureux de constater que son patient avait retrouvé l'usage de la parole. Il revint quelques minutes plus tard avec un portable. Il dit cependant à Dico :
- Ne forcez pas trop quand même...

Celui-ci ne lui répondit pas. Mais l'infirmier esquissa un sourire, sachant que ce silence-là signifiait une grand concentration. Même Ryan semblait être devenu invisible aux yeux de Dico qui n'eut pour lui que cette unique phrase :
- Tom... N'oubliez votre rapport de mission. J'aimerais... le lire... pour savoir...
Les minutes qui suivirent semblèrent surréalistes. Une atmosphère indéfinissable régnait à l'infirmerie.

Puis, repassant devant eux avec des boîtes de médicament et autres seringues, l'infirmier "Auxbonsoins" s'arrêta devant eux et dit :
- Colonel...
Pensant qu'il voulait parler des médicaments que le nouveau avait pris, Dico et Ryan répondirent en même temps :
- C'est le nouveau qui s'est "servi" tout à l'heure...
- Le... Je voulais vous dire que le banquet... Vous deviez aller au banquet, colonel...
- Et moi ?, demanda distraitement Dico
- Pas conseillé
- Alors je n'irai pas... Et encore merci d'être venu me voir, Tom. Vous êtes le seul à être venu. Les autres... Les autres ne souhaitent sans doute pas me voir avant longtemps, peut-être même plus du tout. Vous direz à Macnam que le rapport est sur en ligne, sur le réseau réservé de la base...

Sur quoi l'infirmier s'éloigna d'eux, l'air préoccupé et mécontent, tandis que Dico était concentré plus que jamais sur son travail :
*Je vais mettre aussi la traduction du fragment de papier des Anciens. Je n'étais pas sûr de ma traduction. Et pourtant...*

Le colonel H. Sykes arriva à l'infirmerie. Le colonel Ryan était toujours là, auprès de Dico, ne voulant manifestement pas l'interrompre. Lui aussi était plongé dans ses pensées.

Lui, par contre, n'hésita pas longtemps avant de prendre la parole :
- Dico ! Vous n'avez pas entendu l'alerte ? Faudrait peut-être venir avec moi et rejoindre Macnam qui est je sais pas où d'ailleurs.
Puis, se tournant vers Ryan :
- Vous aussi, pensez pas ?
Il esquissa alors un sourire comme celui dans le mess :
- Vaut mieux ne pas le laisser seul... avec tout ce champagne à portée de main...

"Allez voir Macman monsieur c est urgent . je vous accompagne!"

Eric n'était pas armée mais il avait du sang froid et il savait se crée une arme

H. Sykes se retourna lentement, le regard neutre, vers Eric :
- "Allez voir Macman monsieur c est urgent . je vous accompagne !"?...
Il laissa un silence s'installer, puis il reprit, de ce ton monocorde :
- C'est peut-être ainsi qu'on s'adresse à un supérieur chez vous, mais pas chez moi, soldat ! Ici, on dit Mon colonel et on ne dit pas Macnam, mais colonel Macnam.

Juste après, il se pencha en avant, afin que seul Éric puisse entendre et lui dit à voix basse :
- Et pendant que j'y pense, jouez-moi un tour comme celui que vous avez joué à Ryan et vous ne resterez pas assez longtemps debout pour aller le raconter. Lui ne dira peut-être rien, mais pas moi. Refaites ça à n'importe qui, d'ailleurs, et je vous montrerai comment on acquiert ces galons...(il montrait du doigt ses propres galons)
Il se redressa et, toujours sans se départir de son calme, conclut enfin en reparlant à voix haute :
- Reprenez donc votre phrase au début en précisant cette fois où se trouve le colonel Macnam. JE déciderai ensuite si vous devez ou non m'accompagner.


Edit Dico : attrention Eric ! Post peu sympa mais rien de perso ! C'est H. Sykes qui parle. Il est froid, distant, pas liant pour un sou. J'en passe et des meilleurs. C'est comme les posts entre Macnam et lui en ce moment.

Eric se mi faire un petit rire nerveux puis il reprit la parole

"j'ai ordre de vour ramene de gret ou de force au "colonel". Je croit qu'il y a plus important en se moment que de se tapez dessus monsieur."

Eric attendat sa reponce miaus il était pret a riposté si son chef lui donna un coup de poing.

HRP: Je sait t'inquiète pas ^^. Je te deconseille de me menassé ^^.


Edit Dico : Une petite rectification, Éric ! Macnam est toujours colonel, même si la perspective de devenir général le démange. N'est-ce pas, chef ?
Je corrige moi-même, Éric.

Tout en esquissant un petit sourire sardonique, H. Sykes toisa Eric et lui dit sur un ton des plus doucereux, donc menaçant :
- Je sais que c'est l'époque de Noël, mais n'y croyez pas trop quand même, mon cher ! Pour ce qui est d'évaluer la situation, grandissez encore un peu et on reparlera. Votre manque de respect vis-à-vis de la hiérarchie me consterne et m'insupporte. Alors, changez votre fusil d'épaule et très vite ! En tant que simple soldat, c'est un ordre que vous devriez comprendre aisément. Pour clore cet intermédiaire disciplinaire sur une note utile, commencez par reformuler votre propos en précisant CETTE FOIS où se trouve le colonel Macnam, soldat.

Il tourna alors le dos à Eric pour parler à Dico.

Avant même que H. Sykes ait ouvert la bouche, Dico s'était redressé et les regardait d'un air éberlué :
- Vous êtes tous les deux d'une stupidité affligeante ! Vous, colonel ! Vous ne voyez donc pas qu'il passe son temps à chercher l'affrontement. Je ne doute pas que vous ayez le dessus, mais à quoi bon ? Nous sommes ici perdus dans le vide intersidéral, seuls et face à des ennemis puissants que nous connaissons peu ou prou et à combien d'autres, dont nous ignorons encore tout ?... L'alarme vient de sonner et vous lui jetez vos prérogatives hiérarchiques à la tête. Vous n'avez pas compris qu'il n'est même pas une tête brûlée mais insubordonné de naissance. Ça lui jouera un très mauvais tour, c'est évident. Mais pour le moment, il y a d'autres chats à fouetter.

H. Sykes sourit, sauf à l'évocation des chats à fouetter. Là, son visage se referma. En effet, Il adorait les chats. Puis, Dico, se tourna vers Éric et lui dit :
- Et vous ? Vous vous faites une obligation de ne rien respecter de la hiérarchie militaire. Je vous accorde qu'elle m'agace aussi par moments, mais moi, je n'ai pas choisi cette carrière, contrairement à vous. Alors si obéir vous déplait à ce point, démissionnez et arrêtez de semer la zizanie partout où vous allez ; et de vous battre avec tous ceux que vous croisez. Il y en a assez ! Vous avez déjà un problème à régler avec le colonel Ryan, l'infirmier, maintenant le colonel H. Sykes... Vous ne croyez pas que ça suffit ? Vous dites que l'heure n'est pas à se battre comme des chiffonniers, mais vous insistez bien sur ce point, pour provoquer la bagarre. Vous la recherchez vraiment en appuyant aussi sur le fait que le colonel Macnam, responsable de la base, vous a dit de lui amener le colonel de gré ou de force ! Comportement stupide et le mot est faible !

Il reprit son souffle et continua :
- Vous êtes pire que des gamins dans une cour d'école ! Vous colonel avec votre expérience et vous, dont j'ignore encore le nom cela dit en passant, qui avez un comportement déplorable, indigne même quand on connait la situation. Au lieu de vous battre, respectez-vous ! Seule une cohésion sans faille entre nous pourra nous sauver... Et encore, sans garantie de succès... Maintenant, comme je suis votre supérieur par mes fonctions dans cette base, SORTEZ TOUS LES DEUX ! DISPARAISSEZ !

Eric état furaxe mais il mettait toujours le devoir avent tout

" il serait temps qu'on se rend a la salle de pilotage, MON COLONEL"

dit il en se rendant a coté de la porte


Edit Dico :
Tu dois refaire ton post en tenant compte de ce qui s'est dit dans les précédents. Même si H. Sykes est antipathique et plutôt insupportable, tu dois malgré tout l'appeler "mon colonel" et lui montrer un minimum de respect. Sois impertinent si tu veux, mais sans toutefois trop exagérer. Tu incarnes un militaire et tu t'adresses à un officier. N'oublie pas cela... Par la suite, tes messages pourront évoluer dans le sens que tu veux (mais raisonnablement), mais pour l'instant, tu dois t'y plier. Désolé


Nouvel édit :
L'usage de l'adjectif possessif "mon" est obligatoire ici. Tu n'es pas un colonel toi-même et, surtout, les circonstances ne t'accordent pas la licence de le laisser de côté, même si une alerte a été déclenchée. Si tu voulais être impertinent, tu aurais pu dire : "En effet, mon colonel, nous avons assez perdu de temps comme ça. Il est temps d'y aller, vous ne croyez pas ?"
Enfin, je te signale que tu n'as pas salué (le terme est impropre) Dico et le colonel Ryan qui se trouvent pourtant tous deux à l'infirmerie. Relire les posts précédents est primordial.