Un cauchemard bien réél [Kara]

Éric se trouva dans une voiture, il pouvait voir tout autour de lui mais il ne pouvait pas bougé. Puis la voiture s’arrêta et il sortie a l’extérieur. Il se trouvait dans un pays étrange et il remarqua qu’il y avait des calligraphies japonaises. Il était au japon il reconnaissait se que disait les personnes. Il entra dans un temple shinto puis il se vêtis d’un kimono et il se rendit dans une pièce silencieusement ou se trouvait un homme. Il avait une couleur de peaux blanche. Il prit un sabre puis il trancha la tête de l’homme. Il se retourna et commença à courir avent de prendre une personne en otage. Il put voir qui était la personne en question, c’était lui. Il posa une autre personne puis arrivé à la sortie, il trancha la carotide.

Éric se réveilla en sursaut du lit puis il mi sa main au niveau de la gorge, se n’était qu’un cauchemar. Sa allez faire un moment qu’il vivait avec Kara, et en ayant cette pense, il vérifia la respiration de celle-ci, elle devait dormir. Il se dirigea vers la salle de bain ou il se mit de l’eau sur la figure, il en profita pour se passe la main dans ses cheveux. Puis il se dirigea vers le balcon avec une couverture pour ne pas la dérangé. Il s’assit sur une chaise longue ou il se mit les couvertures autour de lui.

Il avait encore la respiration rapide. Il n’avait jamais sentit autant d’émotion dans un rêve tous lui semblait si réaliste, voir même trop. Il appuya son coudre contre un rebord de la chaise puis sa tête sur la main de celle si. Il se massa le front en essayent de décrypté se que voulait dire le rêve. Puis il se souvenu d’une heure et une date. C’était aujourd’hui, sa l’aida pas et sa le rassura pas a l’idée de pensé si ce n’était pas un de ses proches. Il ne se sentait pas bien à cette idée il avait une mauvaise intuition, comme si...

Les pensé de Eric était tourné dans se cauchemar et il ne broncha pas d’un poile quand Kara lui saisi sa mains. Ses yeux étaient perdu dans les réflexions plus ou moins spirituelles et sa pouvait se voir. Il se contenta de faire bougé le pouce de sa mains pour caresse la sienne mais c’était des caresse qui pouvait ressentir la peur et le doute. Bien sur il fessait froid mais Eric ne voulait pas quitté la chaise longue.


"Qu'est ce qui te perturbe, tu as fais encore un cauchemar c'est ça?"

Éric n’avait pas faite attention a sa première phrase mais celle si le fit sortir de ses pensés. Il était comme redescendu sur Terre. Bien sur il fessait plus de cauchemar que les personnes qui n’avait pas fait la guerre. Mais il en était habituer, le plus souvent c’était des gigotements dans le lit et une respiration fort mais sa cessa rapidement quand ce ci prier fin. Mais il ne savait pas si il devait dire cela à Kara. Pour lui elle était comme une ange qui accepte de vivre son « fardeau » avec lui, et il ne voulait pas en rajouté plus sur elle. Bien sur la fin en couple l’aida énormément a remonté cela de façon bien plus rapide que se qu’il aurait crut. Et malgré qu’il rougissait toujours quand il dormait avec elle, il avait toujours trouvait qu’il avait une énorme chance d’être avec elle. Il savait que la vie en couple était que les deux personne parle chacun de leur soucie, se que Kara fessait après une journée bien tendu avec ses collègue, alors que Éric avait apprit a garde tout pour soit.

-J’ai…a tu entendu parler de…

Éric ne trouva pas les mots et il fit une grande respiration préfèrent de tout dire d’un coup comme un pansement qu’ont retire.

-J’ai…j’ai…

Plus il essaya et plus des larmes se mire a coulé de ses joue a un point qu’il n’arriva plus a parlé. Éric se trouva honteux et préféra de tourné sa tête vers le bas a l’opposé de Kara alors qu’il se mit a pleuré. Il avait oublié cette sensation depuis plus d’une décennie, l’armée et se qu’il avait vécu lui avait apprit a de pas pleuré, mais la c’était comme si il pleuré tout se qu’il avait refoulé depuis ses années. Alors qu’un bip de message était arrivé sur le téléphone de Éric, celui si serra fort la main de Kara redoutent qu’elle aïe lire, et que se message allée confirmé ses craintes, se n’était pas le moment de replanté le couteau dans le cœur. elle ne voulait entendre que son père était mort et qu'il aurait vus la façon qu'il a était tué.

Éric était touché par les gestes de Kara, il serra aussi Kara dans ses bras en fraisent une place sur la chaise long pour évité qu’elle reste dans une position inconfortable. Puis une foi assis il posa son visage un long moment contre son épaule en attendent que ses larmes sèches. Il pouvait sentit ses cheveux et sa peau toujours agréable au touché et à l’odeur. Cela lui permit de se calmé un peux et de reprendre un peux le contrôle de soit.

"Tu sais que tu peux tout me dire, alors je t'en prie racontes moi enfin tes cauchemars"

Elle soulait savoir le pourquoi du comment, et Éric préféra de commencé a raconté se qu’il avait apprit a accepté avent de parlé se qu’il avait vus.

-En Somalie… alors qu’on me torturé, ma cellule se trouva juste en dessus de la salle et il y avait du grillage. Je n’arrivais pas a dormit car… j’entendais leur crie au personne qui torturé. Et leur sang coulé par le grillage qui tomba sur moi ensuite, ou des doigts qui coupé au traitre pour évité qu’il prenne les armes. Je me nourrissais de… de… cela pour survivre.

Éric prit un petit moment pour reprendre sa respiration.

-Avent que je te rencontre et que je dorme avec toi, tout les jours j’entant ses cries, ou je les vois sans leur membre et d’autre. C’est pour sa que j’ai voulut rejoindre l’armée, c’était pour arrête ses fou et le mettre a la justice… pour que d’autre ne vivent pas se que j ai vécu a mes 6 ans et pendant plus de quatre ans…

Éric ne pouvait s’empêché de s’essuyer ses larmes contre les vêtements de Kara, ne voulant pas la lâché.

Mais se que j’ai vus la … c’était, c’était… si réel. Je ressentis tout, odeur, sensation, respiration…la peur. Et pourtant par rapport a se que j’ai vécu c’est se qu’il y a de moins violent, mais se que j’ai le plus peur.

Éric ne comprenais pas la phrase de Kara, et cette phrase ne l’aida pas vraiment a allé mieux. Mais le faite d’avoir un peux parle lui fessait du bien.

-C’était les sensations je sentais, je voyais tout je ressentais tout. J’étais dans la peau du de la personne qui… qui … a tué mon père. Je ne ressens rien, je pleure par nervosité et non par tristesse. Je ressens pas la colère, je ne ressens pas la craint… alors que c’était une personne qui compte pour moi.

Il serra plus fort Kara dans ses bras.

-Je me demande si j’ai une âme, si je suis vi… vivant. Si… si… … … … … … … … …

Eric serra fore Kara en fessant un sourire puis il l’embrassa quelque par sur le visage. Puis il poussa un long soupire en se frottent les yeux.

-Je dois prendre le prochain vole pour la Terre.

Il se leva de la chaise longue puis il s’appuya sur le balcon.

-Pour allez à la fête de printemps pour voir mon père une dernière fois.

Il se retourna vers Kara avec un sourire.

-Et j’aimerais que tu vienne avec moi, tu pourrais voir ma famille et …

Il s’approcha de Kara pour la prendre dans ses bras.

-J’aimerais beaucoup te voir en kimono.

-La porte fait une connexion dans quelque jour sur la terre. On pourra profiter pour qu’on y aille comme sa on évite de dépensé des l’argent et de l’énergie en trop. On est gagnant puis... J’ai des choses a réglé là bas.

Eric s’arrêta un moment pour se mettre a côté de Kara.

-Puis on ou tu pourrais en profité pour revoir t es parents. .. sa leur fera plaisir.

Dit il calmement.