SGC

Le vortex de la salle d'embarquement du SGC s'activa. Machinalement, le sergent vérifia le code d'activation et ouvrit l'iris afin de laisser entrer le groupe du Colonel Macnam.

"Bienvenue au SGC colonel"

Arold descendit la passerelle pendant qu'un des portes blindés s'ouvrit pour laisser entrer deux personnes habillé en costard-cravates. Il se tourna vers Claire.

"Je te pari que c'est les 2 zigotos des services secrets. Au fait, bienvenue sur Terre"

Les deux hommes étaient arrivés à sa hauteur, l'un d'eux, le plus vieux, serra la main d'Arold

"Bonjour Colonel, je suis l'agent Ferguson du FBI"

Le deuxième, plus jeune fit de même

"Moi c'est Agent Ferdinant, des services secrets Français"

Les deux hommes saluèrent le reste de l'équipe d'un signe de la tête, puis Macnam reprit la parole.

"Vous avez réussit tirer plus d'infos de notre visiteur ?"

"Malheureusement non, vous voulez lui parler"

Arold fut surpris par la question

"Bien sûr que je veux lui parler, et Claire vient avec moi, elle un don qui pourrait nous servir. Mais avez-vous fouiller tout le vaisseaux ennemi?"

Ferguson prit la parole

"Non, on a pas eut le temps de finir, il est assez grand mais il est possible qu'il reste des survivants armés à l'intérieur et n est pas assez"

"Bien"

Il se retourna vers Sykes

"Colonel, prenez les soldats et partez tout de suite pour le Nevada. Quand vous serez à bord du vaisseau fouillez le de fond en comble. Pas besoin de prisonnier et essayer de connaitre la cause du crash. essayer d'évaluer leur armement aussi"

Arold se retourna vers les agents

"Je vous suis"

Ils sortirent de la salle suivit de Claire et Arold

"Je sais qu'on est pas ici depuis très longtemps, mais t'en penses des terriens pour l'instant ?"

HRP: Sykes, tu crée un nouveau sujet que tu nommes "Exploration du vaisseau/désert du Nevada" et tu explores, je te rejoins en PNJ après. N'oublies pas que tu 45 minutes de vol avant et le site est sécurisé par l'armée américaine et que tu as 6 soldats avec toi^^ (je crois que j'ai rien oublié ^^)

- D'accord, colonel !

Il se retourna vers les six soldats et les enjoignit de le suivre d'un mouvement de tête. Ils connaissaient le colonel et ses petites "manies", maintenant qu'il résidait sur Atlantis depuis un certain temps.

Mais avant de partir, il s'avança vers l'agent des services secrets français et lui dit :
- Alors Ferdinant, on ne salue plus ?
L'agent, interloqué, le regarda comme s'il voyait un fantôme ou son pire cauchemar, comme vous voulez :
- V..., V...., Vous !?
- Oui, moi !
- Je... Je... Mes respects, mon colonel.
- hmmm ! Souvenez-vous de mes leçons et vous serez à la hauteur. Si ce n'est pas le cas... Je me fais bien comprendre, Ferdinant ?
- Oui, mon colonel.

C'est le front couvert de sueur qu'il se rapprocha de Macnam tandis que H. Sykes s'éloignait avec ses hommes.

Le petit groupe eut l'autorisation de traverser le vortex et ils se retrouvèrent , quelques minutes plus tard , dans la salle de la porte au SGC. Claire inspira une bouffée d'air , elle se sentait sereine d'etre revenue sur Terre. Dès qu'ils furent arrivés , les agents français Ferdinant et Ferguson vinrent les acceuillir.

"Je te parie que c'est les 2 zigotos des services secrets. Au fait, bienvenue sur Terre"

Elle sourit et lui répondit calmement

- Merci , retour au bercail. Au fait , tu te souviens que sur Terre il y a un zigoto qui veut me tuer ?

Elle ironisait , encore une fois. Sylar ne pourrait la retrouver ... Enfin rien n'étais sur ... Elle eut un rire angoissé

- Mais ne t'inquiète pas , il ne pourra pas me retrouver...

Les agents n'avaient pas d'informations précises a propos du détenu mais cela ne saurait tarder vu qu'elle possédait un don de télépathie , en quelques secondes elle pourrait savoir ses moindres petits secrets... Arold envoya Sykes et les 6 soldats au vaisseau dans le Nevada et ils laissèrent seul Arold , Claire et les deux agents. Avant de partir , Sykes prit l'agent Ferdinant à part et Claire sourit à l'idée de leur conversation. A l'intention de Macnam , elle dit

- Et bien celui-là va s'amuser... Sykes est toujours comme ça ?

- Et bien celui-là va s'amuser... Sykes est toujours comme ça ?

Macnam prit un air désespéré:

-Je te répond franchement....oui

Arold esquissa un léger sourire. Ils arrivèrent devant la porte de la salle d'interrogatoire. Le prisonnier était assit sur une chaise au milieu d'une estrade où passait un courant assez puissant pour le carboniser s'il tentait de s'échapper. Autour de lui, un champ de force orangée qui émettait un bourdonnement. Fergusson remarqua le regard de Macnam

-On a découvert qu'il pouvait lire dans nos pensé alors on l'a mis dedans, là il peut rien faire

Arold retira sa veste et alla l'accrocher avant de s'asseoir sur une chaise.

-Y'a plus qu'a commencer. Claire, s'il ment tu le dis

Arold se racla la Gorge:

-Ton nom ?

Le prisonnier leva la tête et regarda Arold dans les yeux sans dire un mot

-Bon, tu t'appelleras Senvoi. Vous êtes venu faire quoi avec vos amis ?

Toujours ce même regard.

-Vous êtes combien en tout ?

Cette fois, le prisonnier eut un petit sourire méchant

-Enfin une réaction, ton nom de famille doit être Deudetense nan ?

Arold se leva et se dirigea vers Claire.

-Pose lui des questions mais essaye de savoir son nom, ce qu'ils sont venu faire ici et combien ils sont exactement et où ils sont exactement. Essay de le faire sans qu'il s'en rende compte défois qu'il pourrait "bloquer". Bonne chance.

Arold alla s'appuyer contre le mur du fond

*Espérons que cela marche*

HRP: Claire, t'es libre de décrire les réactions du prisonnier, tu peux te rajouter des difficulté mais au final, tu dois savoir au moins combien ils sont en ce qu'ils sont venus faire sur Terre. Bon rp^^

Juste avant que les deux groupes ne se séparent pour de bon, H. Sykes passa à côté de Macnam et de Claire. Il dit à celle-ci :
- Je suis censé être comment, Mademoiselle Bennett ? Eh oui ! Je vous ai entendu... J'ai une ouïe très fine. Très utile dans mon domaine...

Et il s'éloigna : direction le désert du Névada, et le vaisseau qui s'est écrasé.

Quelques temps plus tard

"Activation non programmée de la porte des étoiles"

L'iris de la porte se ferma et une unité de la marine prit place prête à faire face à toutes éventualité. Le vortex s'activa et la connexion fut établie, le SGC reçut le code d'identification d'Atlantis, il désactiva l'iris pour laisser le passage libre tandis que les soldats baissaient leurs armes. Deux petites minutes plus Cal apparut sur le seuil de la porte portant un sur l'épaule son fusil de précision et un desert eagle dans son étui sur sa cuisse droite.

Un officier arriva, un peu énervé.

"Lieutenant Dellars on croyait que vous ne viendriez plus. Les autres sont déjà partis en direction de leur objectif. Nous venons d'appeler un avion pour vous emmener dans le Nevada, vous recevrez des informations complémentaires lors de votre vol. Ah j'oubliais pour rattraper votre retard au lieu d'un avion de transport vous irez à bords d'un F-22."

Cal n'avait pas le temps d'en placer une, il se contentait d'acquiescer et finalement il suivit l'officier qui le conduisit à la surface; de là il parti pour la base aérienne la plus proche où l'attendait le F-22 et son pilote. Ils décollèrent sur le champ en direction de la zone du crash.

Claire alla se mettre devant le champ de force protégeant le prisonnier et le regarda fixement. Elle n'arrivait pas à lire dans ses pensées, du moins elles ne captaient que des morceaux.

*Zut, il bloque*

Claire essaya encore une fois et le prisonnier leva la tête pour la regarder fixement dans les yeux. Claire eu eu un frisson en voyant le sourire machiavélique que faisait cet homme.

"S'il vous plaît, vous pouvez le droguer encore un peu"

Ferdinant prit une seringue et alla injecter le contenu dans le corps du prisonnier dont la tête bascula en avant. Elle pouvait désormais lire dans ses pensées. Quelques minutes plus tard elle annonça le résultat de cette lecture.

"Ils sont au moins une soixantaine et une bonne vingtaine sur le vaisseau, et ils seraient venur en éclairage en vu d'une futur attaque massive"

"Soixante quand même..."

Arold s'attendait à ce qu'ils soient nombreux mais 60...ça ne sera pas facile de les retrouver dans Paris. De plus ce qu'il redoutait le plus était la fameuse "invasion massive" dont parlé le prisonnier.

"Ca sent pas bon du tout"

Macnam réfléchit un instant à l'endroit où ils pourraient se cacher.

*Non, quand même pas*

Mais c'était le seul endroit où l'on pouvait cacher 60 extra-terrestre.

"Bon, j'embarque une quinzaine de soldats avec moi, je veux les meilleurs, on part pour Paris"

HRP: la suite ici>>>>>>>>>>>>> https://sgu-rpg.bbactif.com/terre-mission-006-f205/mission-6-paris-t380.htm#2909

PNJ = Capitaine Cal Dellars

Pendant le voyage qui conduisait Cal et H. Sykes au SGC, tous deux continuaient à se faire soigner. Cal fut agréablement par les soins qui lui furent prodigués. La douleur avait quasiment disparu. il n'en allait pas de même pour le colonel. Ses blessures n'étaient pas graves, certes, mais assez sérieuses. Du coup, il devait souffrir malgré les soins apportés :
- Macnam !
- Sans doute que Flying a mal interprété ses ordres, mon colonel
- Peut-être, Dellars, peut-être... Mais quand on donne des ordres, on choisit quel ordre pour quelle personne. Et on veille à ce que la formulation soit claire, sans ambiguïté...
- ...
- Macnam ! Incompréhensible ! Je le connais de réputation, tout comme Ryan. C'est pas un tendre, mais c'est aussi un diplomate. Il sait gérer les "réunions de salon".
- Il est meilleur que vous, alors..., dit tout haut Cal qui baissa aussitôt les yeux en se disant que la prochaine qu'il penserait à quelque chose, il veillerait par deux fois à ne pas la dire tout haut.
- Il est incontestablement une référence en matière de vis-à-vis, Capitaine, répondit H. Sykes, le regard étrangement calme mais en regardant fixement Cal.
- ...
- Je n'arrive pas à y croire.
- Permission de parler librement, mon colonel.
- Il me semble que vous le faites déjà bien sans me le demander, Capitaine...
- Peut-être devriez-vous vous... prendre... le temps de reconsidérer ce qui s'est passé ?
- Laisser passer ça ? Et quoi après ? Porter réclamation quand on se sera fait dégommé par le prochain zigoto qui recevra un de ses ordres ?
- Ce n'est pas ce que je voulais...
- Je sais ce que vous vouliez dire. Mais je ne peux pas laisser passer ça. ma tactique était stupide comme vous l'avez dit vous-même...
- ...
- ... Je dirai aussi extraordinairement risquée, mais c'était la seule, compte tenu des circonstances. C'est du moins mon avis, et, de toutes façons, j'ai assumé et j'assume mes choix.
- ...
- Pour Macnam, c'est différent. Il ne prenait aucun risque à donner cet ordre d'une rare stupidité. De plus, vous avez entendu les autres qui étaient présents ? Comment Flying a parlé de nous, de moi, à Arold ?
- Ouais, c'est vrai que Flying n'était pas à la hauteur. Il a pété un câble.
- Que dire alors de Macnam qui lui a donné cet ordre stupide de tirer sur tout ce qui sortait de l'appareil ?
- C'est vrai. Ceci dit, il a aussi ses problèmes de son côté.
- Vous m'excuserez, Dellars, mais je n'avais pas remarqué que nous étions en ballade, nous autres.
- Mon colonel ! Ce n'est absolument pas...
- Permission terminée, conclut H. Sykes de son ton neutre et avec ce regard impénétrable. Cal n'insista pas. Il avait compris que continuer était risqué, trop risqué, d'autant que H. Sykes lui avait donné une promotion. Cela signifiait donc qu'il le tenait en considération.
Par contre, Cal se demandait ce qu'il réservait à Macnam.

HRP : MACNAM ! J'ARRIVE !

Edit Dico :
Les tensions entre Macnam et H. Sykes ne concernent que les persos. Rien à voir avec un quelconque problème entre les membres. Je précise cela car la question a déjà été posée, étant donné les rapports conflictuels qui ont tendance à exister entre ces deux-là ! C'est juste pour l'histoire, pour l'atmosphère. ^^

PNJ = H. Sykes, Cal et des militaires du SGC.

Après un long périple en hélicoptère, d'autant plus long que Cal et H. Sykes étaient tous deux blessés, ils arrivèrent enfin au SGC.

Là, l'accueil fut étrange. Encore vêtus de leur tenues de combat, dont l'aspect révélait la rudesse des combats qu'ils avaient dus essuyer, les deux militaires français furent fraichement accueillis :
- Hop hop hop ! on va pas plus loin !
- Colonel H. Sykes et Capitaine Dellars, Armée française. Détachés sur Atlantis.
L'un des militaires de faction examina les deux hommes comme s'il recherchait un détail insolite dans leurs tenues :
- Vous êtes venus à pied de France, colonel ?
La réaction de H. Sykes fut fulgurante. Son poing droit fila à la vitesse de l'éclair en direction de la mâchoire du soldat qui vola à terre, assommé :
- En avion. Et c'est "Mon colonel", soldat, dit simplement l'officier français. Le second soldat n'avait pas eu le temps de réagir, Cal lui ayant fait une clé qui l'immobilisait totalement :
- Mon colonel, je peux vous demander une faveur ?
- Hmmm...
- On pourrait faire les choses, comment dire... simplement, pour une fois.
- Hmmm... Si vous y tenez.

Le second soldat américain annonça donc les deux hommes, puis leur demanda de patienter. Ce qu'ils firent. L'autre se réveilla, le nez cassé, au bout de quelques minutes, en pestant contre H. Sykes.
Ils furent ensuite conduits jusqu'au responsable de la base qui leur proposa de changer de vêtements. Après avoir salué l'officier général du SGC, tous deux le remercièrent, mais ils déclinèrent son offre :
- Pouvez-vous m'indiquer où se trouve actuellement le colonel Macnam, mon Général ?
- À Paris !
- S'embête pas lui, au moins, marmonna Cal...
- Qu'il en profite, ajouta H. Sykes, qu'il en profite...
- Pourquoi tenez-vous à le voir, colonel ?
- Un détail à régler avec lui, mon Général.
- J'ai su ce qui s'était produit dans le Névada. Le colonel Saucer m'a tout expliqué. Il m'a dit aussi qu'il avait fait part de son opinion au Major Flying... en employant les mêmes termes que vous, a-t-il ajouté
- Je vois.
- Pauv'gars, dit tout bas Cal, en souriant en même temps.
- Évitez de vous emporter, colonel. Vous commettriez une bien plus grande erreur encore.
- J'ai déjà du endurer ce genre d'ordre imbécile, mon Général. Et cela a coûté trop cher à mon goût, beaucoup trop cher.
- Je sais cela, colonel. Le colonel Macnam comme moi-même avons votre dossier.
- Comme j'ai les vôtres. Mais pour moi, il ne s'agit pas que d'un simple tas de papier.
- Que voulez-vous dire, colonel ?
- Rien, mon Général... Rien...
- Je vois...
- Pouvons-nous le rejoindre ?

Les deux hommes attendirent la réponse du Général, commandant le SGC.

Le prisonnier se relacha et sembla sourire. Claire se demandait vraiment s'il ne l'avait pas manipulée mentalement. Les wraiths étaient parfois très doués lorsqu'il s'agissait tromper les humains. Néanmoins , elle resta sure d'elle même devant lui et se tourna vers Macnam , qui avait l'air de s'en faire.
Ils sortirent tout deux de la pièce et Arold semblait réfléchir à l'endroit où ils pouvaient se cacher. Ses pensées lui parvenaient par à coup et elle savait qu'il trouverait la solution.

* Qu'il est craquant comme ça * pensa t-elle

Une lueur maligne dans son regard lui indiqua qu'il avait trouvé et elle trouvait un peu gros ce qu'il envisageait. Mais c'était possible. Il demanda une quinzaine de soldats parmi les meilleurs et déclara qu'ils partaient pour Paris. Claire n'aurait pas besoin de se changer , elle était toujours en tenue militaire. Elle pensa à plusieurs choses : son gilet par-balle ne lui serait pas utile alors autant l'enlever. Aussi , elle se demandait si son don de régénération cellulaire fonctionnerait avec les wraiths car ils prelevaient la vie. Elle n'espérait pas avoir le savoir un jour mais se questionnait beaucoup par rapport à ce problème.

HRP:La suite à Paris Claire

PNJ = Colonel H. Sykes, Capitaine Dellars et le Général commandant le SGC.

Le Général hésita un peu, connaissant H. Sykes. Mais il accéda finalement à sa demande. Le colonel l'en remercia, et après l'avoir salué, quitta le bureau du Général après avoir enjoint Cal de le suivre. Ce dernier le suivit, mais alors qu'il atteignait la porte, le Général le retint par l'épaule et lui dit :
- Capitaine. Tentez de le raisonner ou, pour le moins, de le calmer. Il est bien capable de s'en prendre physiquement et sérieusement au Colonel Macnam. Je compte sur vous, Capitaine.
- À vos ordres, Général.

Cal sortit du bureau et rejoignit comme si de rien n'était son bouillant officier supérieur. Pendant qu'ils se dirigeaient vers l'appareil qui devaient les emmener à Paris, Cal ne cessa pas d'observer H. Sykes, cherchant par là comment il allait bien pouvoir faire pour le raisonner ou le calmer. Au bout d'un moment, il en eut assez de se poser mille questions. Il se cala bien sur son siège et se dit qu'il verrait bien le moment venu...