MISSION 3 : Arrivée sur PLA-93-10 / Pitivillage / SCENARIO de Nolan Ford

Seuls Nolan, Jack O'Neill (temporaiement), Tom Alord et moi pouvons poster ici !

Tandis que Jack rentrait à contrecœur à la base et que les autres avaient suivi le vieil jusque dans sa maison, Nolan, lui, sans se préoccuper des soldats obéissant aux ordres de Macnam, suivit les deux enfants qui s'étaient enfuis ! Il ne pensait qu'à les rattraper pour les rassurer. Sans s'en rendre compte, il avait quitté la place du village et s'était enfoncé beaucoup plus loin qu'il ne l'aurait voulu dans les rues tortueuses et bien plus nombreuses qu'il ne l'aurait souhaité, du village. Il se fit la réflexion que ces rues et ruelles formaient un véritable labyrinthe !

Après une course qui dura plusieurs minutes, il finit par arriver dans une impasse, le long de laquelle se dissimulaient de part et d'autre, derrière ce qui semblait être des lierres, des portes, délabrées dans le pire des cas, à réparer d'urgence dans le meilleur. Essoufflé, ne parvenant pas à reprendre une respiration normale, Nolan décida d'enlever son masque, non sans avoir longuement hésité... L'air frais lui fit si grand bien qu'il crut respirer pour la première fois depuis bien longtemps.

Il n'entendait plus les enfants, ni aucun bruit d'ailleurs. Il essaya d'ouvrir la première porte. Dans un fracas formidable, la porte et une partie de la maison faillirent lui tomber dessus. Il se jeta en arrière pour éviter les blocs de pierre et atterrit sur le dos. Sans ses réflexes, Nolan aurait fini écrasé sous les gravats. La poussière soulevée par la chute du mur et d'une partie de la maison le fit tousser abondamment. Tout en la balayant de la main, il se releva et crut discerner une ombre le regarder et fuir. Il ne s'agissait peut-être que d'une illusion, mais il voulut en avoir le cœur net. La poussière se dissipant, il put à nouveau distinguer assez nettement l'impasse pour continuer sa progression.

Il évita soigneusement la seconde porte, de peur de voir le reste de l'habitation qui la jouxtait lui tomber dessus. La porte suivante ne s'ouvrit pas et Ford, au vu des efforts qu'il fournissait et des craquements de plus en plus nombreux et inquiétants qu'il entendait, renonça à tenter de l'ouvrir.

C'est alors que, sur le point d'abandonner malgré sa résolution, il entendit des voix d'enfants, qui venaient d'un peu plus loin. Il s'avança, les voix devenant de plus en plus fortes. C'est ainsi qu'il parvint finalement à une porte soigneusement dissimulée par les espèces de lierre... Il l'ouvrit, pénétra l'arme au poing et le doigt sur la gâchette dans une pièce où une odeur particulièrement forte et nauséabonde régnait. Nolan eut un haut-le-cœur et se précipita dehors pour vomir.

Remis de ses émotions, il pénétra à nouveau dans cette pièce après avoir remis son masque ! Le spectacle qui s'offrit alors à lui était insoutenable : deux adultes, malades étaient alités, tandis qu'un troisième, toussant énormément était couché dans un coin sombre de la pièce. Nolan se dirigea vers ce troisième personnage qu'il ne parvenait pas à voir distinctement. C'est alors qu'un bruit de chaînes le fit sursauter. En un instant, il releva son arme, prêt à tirer, et se tourna sur lui-même pour trouver l'origine du bruit. N'ayant rien trouvé, il s'avança à nouveau vers ce personnage couché, redoublant de méfiance. Il fit deux ou trois pas. Le bruit de chaîne recommença. Nolan comprit alors que l'homme (ou la femme),couché devant lui, était enchaîné.

Il se demanda pourquoi donc les habitants de ce village enchaînaient d'autres villageois ! Cela n'avait aucun sens. Mais le sens de tout cela allait bientôt lui sauter au visage. Il fit encore un pas et là, en un éclair, ce qui se trouvait à terre bondit et l'attrapa à la gorge. Dans une lutte effrénée, Nolan roula à terre tentant de pointer son arme pour abattre son assaillant... En vain ! La force qu'il déployait était extraordinaire, bien plus que son aspect physique pouvait le laisser croire... Nolan parvint malgré tout à se dégager et à donner un coup de crosse si violent que l"homme" hurla et s'effondra sur le dos.

Le lieutenant Ford put alors découvrir le visage et l'aspect physique de son assaillant : un être mi-homme mi-bête ! Les traits humains semblaient même disparaître un peu plus à chaque instant ! Nolan était figé sur place, incapable de bouger à la vue de cette... chose et de cette scène qui se déroulait sous yeux !

À terre, la chose bougeait par moments. Les deux adultes alités dégageaient une odeur quasi pestilentielle. Les enfants hurlaient et gesticulaient dans tous les sens. D'ailleurs, Nolan se demanda si les enfants hurlaient de terreur ou pour encourager la bagarre. Cette simple idée le révolta mais leur comportement laissait planer le doute...

Après un long moment, il sortit de sa torpeur et décida de prendre contact par radio.

Nolan vue O'neill rentrer à la basse à contrecoeur, lui décida de rechercher les deux enfants en s'enfonça dans la ville. Il fit un bref course poursuite longue et épuisante, à travers les rues de la ville. Il arriva dans une impasse ou deux portes très vieilles dissimuler par le lierre et la face a face.

Il prit la décision d'enlever son masque pour mieux respirai a l'air libre, qui lui fit le plus grand bien. Plus aucun bruit ne lui parvenais, une ville fantômes. Il décidait d'ouvrir la première porte et de voir l'intérieur. Dans un bruit immonde la porte ce fendis et fit tomber plusieurs pierres que Nolan et il dut esquivait pour ne pas être écrase.

*La chance j'ai failli mourir écrasé...*

Il se disait que la seconde porte n'était pas la bienvenus et décida de ne pas l'ouvrir pour ne pas à avoir, être écrase. Un autre porte qu'il vu était plus préoccupent, des bruits se firent entendre de l'intérieur.

Mais les cris des enfants éveillèrent sa curiosité. Il se rapprochait de plus en plus d'eux. Jusqu'à trouver une porte potable. L'ouvrit et pénétra dans la pièce l'arme au poing et le doigt sur la gâchette. Mais, une certaine odeur le fit vite ressortir pour vomir.

"C'est quoi cette puanteur ?"

Il prit la précaution de remettre son masque, tous en pénétrant dans la pièce une seconde fois. Trois personnes étaient présentes dans la pièce après examinassions la troisième personne était enchaîné. Il fit un pas de trop et la chose a terre lui sauta à la gorge après un combat rude, Nolan parvint à se libérer et mis a terre son assaillant.

Le visage de la personne se fit voir un homme, mi-bête-mi-humain. Mais le côté bête prenais le dessus. Nolan ne pouvait plus bouger à la vu de ceci.

"C'est quoi ces choses ??"

Les enfants crient soit pour encourager une bagarre ou soit de peur. Il décida de sortir sa radio et prend contact radio.

//Euh...Ici Le lieutenant Ford quelqu'un me reçoit ??//

"la Radio ne fonctionne pas, y des interférences..."

//Je répète ici le lieutenant Ford on me reçoit ??//

Il attendait une prise de contact.

Mais ce contact radio n'eut pas lieu immédiatement. Il décida de retenter sa chance en sortant de la maison, mais là encore le contact fut impossible à établir. Ford s'apprêtait à faire demi-tour pour rejoindre les autres, lorsqu'un brouillard apparût à l'entrée de l'impasse. Il fut surpris et ne savait pas exactement quelle décision prendre. Les enfants décidèrent pour lui. A la vue du brouillard, ils se précipitèrent à l'intérieur, affolés. Ford les talonna. A peine dans la maison, ils claquèrent la porte et appuyèrent sur un bouton qui ouvrit une seconde porte au fond de la pièce principale. Les enfants, laissant là les adultes, s'y engouffrèrent. Nolan resta sur place, cherchant à comprendre ce que pouvait signifier tout cela. A voir les enfants disparaître ainsi, il songea aux deux adultes sur le lit. Il s'approcha d'eux et s'apprêtait à soulever le premier, lorsque l'un des deux enfants le retint par le bras et le tira vers la seconde porte...

Il ne voulait visiblement pas que l'on s'occupe des adultes. Il ne cessait de produire des borborygmes en désignant à la fois la porte d'entrée et l'adulte, ceci tout en le tirant à lui de l'autre bras. Nolan finit par se laisser entraîner, sans comprendre ce qui se passait... Ils descendirent un petit escalier, assez raide au demeurant, et arrivèrent dans une pièce seulement éclairée par deux torches accrochées au mur et qui ne disposait d'aucune aération. A ce moment-là, le lieutenant se dégagea de l'emprise de l'enfant et prit sa radio. Rapide comme l'éclair, le garçon lui arracha la radio des mains et la jeta de toutes ses forces contre le mur.
Furieux, Nolan vociféra quelques propos qu'il est impossible de retranscrire ici. Il décida aussitôt de remonter, laissant là les deux enfants. Derrière lui, ils refermèrent la porte qui produisit un son semblable à un souffle.

Arrivé dans la pièce principale, il perçut un bruit semblable à une rafale de vent. Il s'avança prudemment dans la pièce envahie par le brouillard. Il ne voyait plus le sol et le brouillard qui continuait à s'épaissir atteignait maintenant son visage.

L'arme au poing, il sortit dans un silence de mort... Et tout à coup, à nouveau cette rafale de vent d'autant plus étrange que le brouillard ne semblait pas en subir les effets ! Perdu, Ford s'avança un peu dans l'impasse et faillit tomber en avant. Il n'avait pas vu les gravats qui jonchaient le sol. Au moment où il rétablissait son équilibre, il entendit des sifflements au loin suivis d'un coup de tonnerre, eux mêmes suivis immédiatement de coups de feu nourris et de cris incompréhensibles... Il comprit que le groupe en poste à proximité de la porte était attaqué et regrettait de ne plus avoir de radio. De toutes manières, elle lui aurait été inutile. Il ne voyait pas plus loin de le bout de son bras, et encore... Voué à l'inaction, il assistait de loin à l'attaque de ses camarades sans pouvoir rien faire...

La rage au ventre, il prit tout de même la résolution de se mettre en chemin pour les rejoindre. Au bout d'un temps interminable pour lui, il eut la certitude d'avoir quitté l'impasse... Au même moment, le silence se fit de nouveau et le brouillard disparut en quelques secondes, moins de trente en tout cas. Nolan en était sûr !

Le contact se faisait long. Nolan prit la décision de sortir pour une meilleure réception. Mais, le même problème se répéta dehors et aucun contact ne fut établi.

*Merde*

Mais, un brouillard le surpris et fut attrapé et trainer dans la maison par les enfants. Qui disparurent derrière une porte mystère. Nolan se préoccupa plus pour les deux autres personnes et s'approcha d'eux. Mais, l'un des enfants l'attrapa par le bras et le traîna dans une pièce inconnue.

"Tu m'emmènes ou la ? "

Il fut traîné dans une pièce par laquelle on accédait par un escalier, peu éclaire. Il voulut prendre contacte avec le reste de l'équipe. Mais l'un des enfants lui attrapa la radio la détruisent contre le mur. Nolan était furieux.... Il sortie plusieurs insultes. Il sortie de la pièce qui se referma derrière lui.

Il était dans la pièce centrale, il ne distinguait plus le sol et le brouillard n'arrête pas de s'épaissir.

"Il se passe quoi la ? "

Il sortie dehors aveugler par le brouillard, un bruit de rafale se fit entendre. Nolan avançait comme les yeux fermé. Il trébucha et se releva. C'est à ce moment que tous basculer. Il entendit des sifflements au loin suivi d'un coup de tonnerre, eux mêmes suivis immédiatement de coups de feu nourris et de cris incompréhensibles. Le groupe était attaqué, il assistait à la tuerie de son groupe de loin s'en pouvoir y faire quelque chose.

*Merde vite...*

Il sortie de l'impasse pour les rejoindre et le brouillard disparus en moins de trente secondes.

"C'était quoi ce bordel."

Il courut pour rejoindre ses camarades.

Arrivé sur la place, Nolan constata le désastre : des corps partout ! Des morts, des soldats agonisants que d'autres, rescapés, tentaient de soigner le mieux possible, étant donné les circonstances.
Nolan s'approcha du groupe et constata que les agonisants perdaient eux aussi leurs traits humains. Les morts avaient été touchés de plein fouet, mais il ne reconnaissait pas les impacts ! Aucune arme connue ne produisait ce genre d'impacts...

De plus, l'autre groupe avait disparu ! Un soldat qui avait vu arriver le lieutenant Ford s'approcha de lui et lui dit :
"Le colonel Macnam est parti avec quelques soldats et les autres membres ! Le Docteur McKay a dit que le groupe devait se diriger vers le village "des ombres errantes" ! Ils sont donc partis ! Dico et le colonel ont dit que vous deviez attendre ici l'arrivée de nouveaux hommes ! Je n'en sais pas davantage, mon lieutenant !"

"Edit Dico : Pour les autres joueurs concernés, Attendre le message de Nolan avant de poster vous-mêmes !"

Il était à peine arrivait sur la grande place qu'il put constater l'horreur des corps partout, des morts des blesse des survivent. Il s'approcha d'un groupe de blesser, il put remarquer qu'ils se transformaient aussi.

"Mais c'est quoi se bordel, il est arrivé quoi ?"

Un soldat arriva devant lui.

"Mon lieutenant."

Nolan le fixe et voulait savoir ce qu'il avait à dire.

"J'écoute soldat au rapport."

"On s'est fait attaquer pas on ne sait pas quoi, un brouillard épais et arriver et pares voyer vous-même."

Il lui montrait les corps des soldats.

"Ou son passer le Colonel Macnam et son groupe. "

"Le colonel Macnam est parti avec quelques soldats et les autres membres ! Le Docteur McKay a dit que le groupe devait se diriger vers le village "des ombres errantes" ! Ils sont donc partis ! Dico et le colonel ont dit que vous deviez attendre ici l'arrivée de nouveaux hommes ! Je n'en sais pas davantage, mon lieutenant !"

"Bien soldat sa suffira, écoutaient tous, je ne sais pas ce qui est arrivé mais, on va attendre les renforts. En attendant on ne va pas rester à rien faire."

Nolan avait une idée, il se rappelait donc, des trois personnes découvertes enchainer avec leurs traits de visage change. Il s'approcha d'une des maisons et regarda son état. La maison était en bon état la porte solide et pas d'autre issu que celle-ci. L'intérieur était grand.

" Ecouter tous, on va procédait de cette façon. Je veux que l'on investisse les blesses, dans cette maison qui sera mise en quarantaines. Je veux un groupe de soldat solidement armé devant la maison. Les morts, on ne plus rien faire pour eux. Une idée soldat pour les morts ?"

Nolan attendais une réponse du soldat, celui-ci ne savait pas trop quoi dire et penser des paroles de celui-ci. Puis les soldats qui avaient pu survivent à l'attaque se mirent en routes sous les ordres de Nolan a exécuté ses dire, lui-même aider a mètre en place toutes ses paroles....

PNJ = Tom Alord et Jack O'Neill

Nolan vit arriver Jack, Tom Alord (le médecin) accompagné d'un infirmier ainsi que d'un certain nombre de soldats.

À quelques mètres de là, les survivants avaient tous relevé la tête, regardant successivement le colonel et le médecin.Ils se demandaient s'ils devaient considérer leur arrivée comme quelque chose de favorable ou comme quelque chose qui annonçait de futurs ennuis, de nouveaux ennuis !

O'Neill fit signe à Ford de s'approcher et, en compagnie d'Alord, s'écarta de la troupe pour faire le point. C'est là que Ford informa le colonel que Macnam était parti avec les autres :
"Mince ! Ça change tout ! Bon, tant pis ! On contacte la base !"

C'est ainsi que malgré les réticences de Ford qui se rappelait le comportement du vieil homme et celui des deux enfants qui avaient cassé sa radio, le colonel prit contact avec la base pour informer Dico de la situation.

Celui-ci ordonna à O'Neill de prendre contact avec Macnam pour lui demander s'il lui serait possible de rebrousser chemin. Il dit également d'enterrer les corps, qui seraient récupérés plus tard ! Il demanda également des précisions sur les événements qui s'étaient produits et le fidèle récit que lui en fit le lieutenant qui fit également part à Dico de ses intuitions inclina Dico à préciser plusieurs choses :

"Merci beaucoup, Ford ! Vos intuitions sont bonnes, en effet ! Je fais vite pour vous parler, à tous trois :
Ce brouillard est un gaz qui modifie le métabolisme des gens qui le respirent pour en faire ce que vous avez vu. Voyez ça avec Alord.
Le bruit semblable à une rafale de vent n'est autre que le "Maître des Ruines " dont je vous ai parlé lors de la réunion !
Les impacts sont sur les corps sont les siens ! L'énergie l'attire. Même celle de vos radios ! Les gens du village l'ont compris...
Il faut impérativement vous séparer de vos radios ! Je vous en envoie d'autres par la porte mais n'en enclenchez une seule à la fois et toutes les trente minutes seulement ! Prévenez Macnam par radio et répétez-lui ça aussi !
Et surtout, quoiqu'il arrive si le vent revient ou le brouillard, NE TIREZ PAS ! Sinon tous ceux qui auront tiré mourront !
Prévenez McKay de ne surtout pas manipuler d'E2PZ s'il en trouve un ! Qu'il ne l'active surtout pas !
Vous, Docteur, occupez-vous des blessés et faites des prélèvements de toutes sortes... Enfin, vous voyez mieux que moi...

C'est tout pour l'instant ! Enfin... presque... Je voulais vous demander, Ford si l'un de vos hommes ou vous vous-même n'avait pas remarqué quelque chose à propos des événements... Quelqu'un n'aurait-il pas évoqué une lumière qui se serait projeté sur la porte, sur le DHD ?"

Ford répondit par la négative mais il indiqua à Dico, en hésitant, qu'un soldat momentanément déséquilibré avait dit "qu'elle avait lu la porte", ou un truc de ce genre...

La réaction de Dico fut fulgurante :
"Jack ! Dès que vous avez Macnam à la radio, dites-lui de rappliquer coute que coute à la base ! Dites-lui bien qu'il n'a pas le choix ! J'envoie un Jumper !"

Sur ces paroles, le vortex fut coupé, laissant Nolan et les autres plus que perplexes...

PNJ = Tom Alord, Jack O'Neill et Nolan Ford

Alors qu'O' Neill attendait l'arrivée du Jumper, une voix inconnue lui dit de manière neutre et lapidaire :"Comptez plus sur le Jumper ! Contact radio plus tard... Terminé !"

O'Neill n'en croyait pas ses oreilles. Mais il n'eut pas le temps de se poser des questions. A même instant, des hurlements et des coups de feu se firent entendre ! Nolan voulut prendre contact avec Macnam mais O'Neill préféra rassembler les hommes et partir en direction des cris... Il pressentaient tous que de graves événements avaient lieu plus loin. Et comme Jack craignait que la bestiole de Dico n'en soit à l'origine, il décida de ne surtout pas rompre le contact radio !

Alord reçut l'ordre impérieux de Jack de laisser là les blessés qui n'avaient d'ailleurs plus rien d'humain. Ils mourraient tous ou se transformaient en un monstre mi-homme mi-bête. De toute façon, il n'y avait plus rien à faire et c'est avec un poids sur la conscience et la rage au ventre d'avoir dû obéir à un ordre qui le mettait hors de lui qu'il suivit les autres soldats.

Ils avançaient tous les sens en éveil dans cette forêt peuplée de craquements répétés et de plus en plus nombreux et proches. Tout à coup, des cris de bête fauve les surprirent tous. De tous côtés, des monstres surgissaient des sous-bois. Ils surgissaient aussi des arbres. L'attaque fut si brutale que deux soldats furent déchiquetés en un instant par plusieurs de ces monstres et un troisième eut la tête tranchée par on ne sait quoi. L'effet de surprise fut total. Le groupe mit très peu de temps à réagir, mais il n'en fallut pas davantage aux monstres pour entraîner un quatrième homme dans les sous-bois épais et obscurs de cette forêt qui prenait de plus en plus l'allure d'un piège mortel.

Les mains tremblantes et sans concertation, chacun pointa son arme dans des directions différentes, de manière à couvrir toute la zone. Cette précaution ne fut pas inutile car une nouvelle attaque eut lieu. Ford, pris cette fois pour cible, évita de justesse un de ces monstres qui parvint malgré tout à lui entailler sérieusement l'épaule. Malgré la douleur, il parvint à riposter et abattit son aissaillant, sans réfléchir. Ce n'est qu'une fois celui-ci allongé à ses pieds, mort, qu'il se rendit compte qu'il s'agissait de l'un des soldats que le médecin refusait quelques minutes auparavant d'abandonner... Il pensa informer O'Neill et les autres de "sa découverte", mais tous avaient les yeux rivés sur cette "chose".

Face à ce spectacle ahurissant, O'Neill prit alors la parole :
"Ouais ! Si on reste ici, on subira le même sort ! Alors, on va tenter de rejoindre Macnam et on avisera après...
Tu parles d'une mission merdique..."

Il contacta alors Macnam, à la fois surpris et content d'entendre sa voix...

Edit Dico : Fin des messages pour cette section.
Prochain arrêt :
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» Mission sur la planete Kapverse [mission 005: en préparation]